Printemps platonique
Le printemps darde ses rayons sur le Plateau.
Une cigarette sur le balcon. Je suis bien sous la caresse de l’air et le clin d’œil du soleil.
Les rues sont pleines de gens qui rient. J’entends les voisins d’en haut installer leur table d’été.
Passant la main dans mes cheveux, je trouve un bourgeon que je caresse comme une peau de bébé.
Hier soir, j’ai eu un rendez-vous manqué.
Je me sens louve plutôt que requin.
Je suis seule pour la toute première fois depuis 36 heures et j’ai cette impression de liberté qui s’ancre dans ma chair pendant que j’encre mon blog.
Je pense à Celui qui ne m’a pas répondu. Et je me berce dans les amitiés qui me supportent depuis bien plus longtemps.
Le printemps darde ses rayons sur Montréal.
Je me sens amoureuse, mais je n’ai personne à aimer.
C’est peut-être plus simple que d’aimer sans être aimée.
Une cigarette sur le balcon. Je suis bien sous la caresse de l’air et le clin d’œil du soleil.
Les rues sont pleines de gens qui rient. J’entends les voisins d’en haut installer leur table d’été.
Passant la main dans mes cheveux, je trouve un bourgeon que je caresse comme une peau de bébé.
Hier soir, j’ai eu un rendez-vous manqué.
Je me sens louve plutôt que requin.
Je suis seule pour la toute première fois depuis 36 heures et j’ai cette impression de liberté qui s’ancre dans ma chair pendant que j’encre mon blog.
Je pense à Celui qui ne m’a pas répondu. Et je me berce dans les amitiés qui me supportent depuis bien plus longtemps.
Le printemps darde ses rayons sur Montréal.
Je me sens amoureuse, mais je n’ai personne à aimer.
C’est peut-être plus simple que d’aimer sans être aimée.
Plus simple et plus satisafaisant!
C'est ça la magie du printemps... on est toujours amoureux, même tout seul!
Merci Avril!